Lors de ses séjours dans sa maison de Haute-Corrèze, cet inlassable pourfendeur de l’oubli, s’attèle à assembler, souder, transfigurer les ferrailles, épaves du monde industriel et agricole, témoins d’un passé accompli et défunt, afin de rendre, à travers leur histoire et leur usage, la dignité à ceux, paysans et ouvriers, qui ont utilisé ces outils abandonnés aux casses et aux ronciers. Naissent alors de son imagination, nourrie d’une culture universelle et humaniste, des figures anthropomorphiques, zoomorphes, abstraites …
En partenariat avec l’association Les Amis de la Ferme de Villefavard.